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jeudi 9 août 2012

Séjour à Sagard : Michael Sabia blanchi par le commissaire au lobbyisme



Michael Sabia n'a pas pris part à des activités de lobbyisme lors de son séjour à Sagard en août 2011, a tranché jeudi le commissaire au lobbyisme du Québec.
La vérification « n'a pas permis d'établir que des activités de lobbyisme ont été exercées au sens de la Loi sur la transparence et l'éthique en matière de lobbyisme », a indiqué le commissaire.
Le président et chef de la direction de la Caisse de dépôt et placement du Québec faisait l'objet d'une enquête depuis que sa présence au somptueux domaine familial des Desmarais les 12, 13 et 14 août avait été révélée dans un article du Journal de Québec.
Le Parti québécois avait réagi en demandant au commissaire au lobbyisme du Québec de se pencher sur cette affaire.
Le porte-parole de l'opposition officielle en matière de finances et de développement économique, Nicolas Marceau, avait remis en question le « jugement » de M. Sabia, qui avait accepté l'invitation de la famille Desmarais.
Dans un communiqué paru le 3 février, il avait écrit que « faire des affaires, ça se passe normalement dans un bureau, pas dans le spa des Desmarais ».



Séjour à Sagard : Michael Sabia dit ne pas avoir commis une erreur

Le PDG de la Caisse de dépôt et placement du Québec, Michael Sabia, a refusé de voir une erreur dans son séjour l'an dernier au domaine de Sagard, propriété de la famille Desmarais, et a soutenu que sa priorité a toujours été de défendre l'intégrité de son institution.
M. Sabia a affirmé qu'il défend en tout temps la Caisse pour conserver la bonne perception qu'en ont les Québécois.
« Au fonds, on parle ici d'intégrité. Ce n'est pas une question d'un lieu ou d'un moment en particulier. C'est quelque chose [qui doit valoir] 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. À la Caisse, on a fait des efforts exceptionnels pour bâtir des processus extrêmement rigoureux pour éviter ces problèmes, éviter les perceptions d'un problème », a-t-il déclaré à Gérald Fillion, lors de l'émission RDI économie.
« J'ai deux principes devant moi. D'un côté, j'ai le droit d'avoir une vie privée, de voir des amis. Également, j'ai la responsabilité de protéger l'institution, et de protéger la perception de l'intégrité de cette institution si importante », ajoute-t-il.
« Donc s'il faut faire un choix, je choisirai toujours de protéger cette institution parce que c'est ma responsabilité ».
Rappelons que la Caisse a affirmé dans un communiqué plus tôt en février que la fin de semaine que la famille Sabia a passée au domaine Sagard en août dernier était une visite amicale, et que Michael Sabia et son épouse connaissent André et France Desmarais en tant qu'amis depuis plus de 10 ans.
Elle mentionnait également que lors de ce séjour, la famille Sabia comptait parmi une vingtaine d'autres personnes au total et qu'à aucun moment il n'y a eu de discussions au sujet d'une transaction potentielle ou d'une collaboration entre la Caisse de dépôt et Power Corporation, entreprise que détient la famille Desmarais.
« Ce n'était pas une erreur [d'aller à Sagard], soutient M. Sabia en entrevue. C'était juste une controverse dans le domaine des médias. Mais ma perception et ma position est que s'il faut faire un choix entre les droits comme personne et ma responsabilité professionnelle de protéger la caisse, je vais choisir 100 % du temps la responsabilité de protéger cette grande institution ».
Selon le directeur général de l'Institut sur la gouvernance d'organisations privées et publiques, Michel Nadeau, Michael Sabia doit tout de même considérer la sensibilité des Québécois à cette question et être davantage à l'écoute.
« M. Sabia, comme toute personne d'affaires, tente d'offrir, de vendre des services. Cependant, dans l'opinion publique québécoise, la barre est très haute. Un sondage la semaine dernière montre que se voir offrir d'aller au Centre Bell ou d'aller en voyage de pêche, c'est inacceptable pour un politicien ou un dirigeant de société d'État », a-t-il affirmé en entrevue avec Anne-Marie Dussault à 24 heures en 60 minutes.
« M. Sabia, qui a très bien fait sur le plan du rendement, n'a pas fait aussi bien en termes de sensibilité à l'opinion publique québécoise : le repas chez Power après sa nomination, le vice-président en ressources humaines anglophone unilingue chez Ivanhoé Cambridge, là, je pense qu'il faudrait qu'il se mette davantage à l'écoute », dit-il.
« Les Québécois veulent une extrême prudence. Les gens voient qu'il y a des gens très riches qui font beaucoup d'argent aux dépens du consommateur moyen. On ne veut plus de cela », ajoute Michel Nadeau.
« M. Sabia ne retournera pas à Sagard, c'est certain », termine-t-il.




Voici quelques commentaires à cette «nouvelle» faits par Madame et Monsieur «Tout-le-Monde»:

Envoyé par Linda Hart de Montréal
24 février 2012 à 08 h 56 HNE
@Marianne longfield Marianne

Si vous ne voyez pas le problème éthique que pose le séjour d'un PM ou d'un dirigeant d'une entreprise parapublique à Sagard, vous avez madame, un très grave problème de jugement et un sens des valeurs complètement dénaturé par votre esprit partisan. Les cocus contents et les béni-oui-oui sont toujours un boulet pour une collectivité.

Votre intervention cherche volontairement à faire dévier le débat et à faire l'impasse sur ce que ce séjour a de répugnant, en choisissant plutôt de manger du québécois.

Vous faites une parfaite illustration des dérives qu'occasionne immanquablement l'esprit partisan quand il devient obsessionnel.

Le scandale n'est pas avec les québécois, il est avec des élus et des gestionnaires de fonds publics dont le jugement et le sens de l'éthique sont inexistants et aussi avec ceux qui les approuvent.
Envoyé par Linda Hart de Montréal
24 février 2012 à 08 h 54 HNE
@Serge Caron

Et ce n'était pas que du PCAA, c'étaient du PCAA non bancaire, le plus douteux. Il l'était tellement que Standard and Poor's et Moody's, ont refusé de noter le PCAA canadien et se sont retirées de ce marché. Il n'y avait que DBRS qui acceptait de le coter et on connaît les liens entre DBRS et Coventry et Rousseau les connaissait aussi.
Envoyé par Linda Hart de Montréal
24 février 2012 à 08 h 31 HNE
@Mike Edoin

Il y a des zones d'ombre dans l'affaire des 40 milliards et il est faux de dire que toutes les agences de cotation donnaient un triple A aux PCAA. Il n'y avait que DBRS qui le faisait et les deux agences de notation américaines, Standard and Poor's et Moody's, ont refusé de noter le PCAA canadien et se sont retirées de ce marché.

Quand on se donne la peine de lire un peu à propos de cette histoire, il devient vite évident qu'elle pose de nombreux problèmes jamais résolus et suscite des questions auxquelles personne n'a répondu et surtout pas Rousseau, dont le discours était truffé d'arguments tous plus mensongers les uns que les autres.

Je vous invite à consulter la chronique de Pierre Cloutier "Quand Henri-Paul Rousseau veut nous faire avaler des couleuvres !", qui fait une analyse exhaustive des événements et met en lumière la faiblesse de l'argumentation de Rousseau et ses aspects fallacieux.

http://www.vigile.net/Quand-Henri-Paul-Rousseau-veut
Envoyé par Linda Hart de Montréal
24 février 2012 à 08 h 14 HNE
@Mike Edoin

Le président de la CDPQ ne peut, se permettre d'accepter des faveurs de quelque sorte offertes par des clients ou des clients éventuels. Lorsque des clients désirent le rencontrer, ils prennent rendez-vous au bureau, point final. Personne n'empêche Sabia de rencontrer des gens d'affaires, cela fait partie de son travail. Mais il ne fait pas partie de son travail de séjourner dans leur château. Il y a des contraintes éthiques évidentes qui s'imposent à un gestionnaire de fonds publics et si elles répugnent à Sabia, s'il est incapable de prendre ses distances, il devrait tout simplement démissionner, il n'est pas à sa place à la CDPQ.

Pour ce qui regarde les américains, je ne crois pas qu'il s'agisse d'un exemple à suivre. Ce n'est pas parce que les autres font pire, que cela justifie les manquements à l'éthique la plus élémentaire de la part de nos employés, car Sabia est notre employé, il est payé avec notre argent. Nous sommes donc, à titre d'employeurs, en droit d'exiger un minimum de respect de sa part.
Envoyé par N.lemay Normand de Québec
24 février 2012 à 08 h 05 HNE
Je donne ca en gros la...Avant que ca déboule v. 2007-2008 la Caisse était a 155 milliards...en 2012 on est a 159 milliards....Bon! Le trou ca pas d affaire a Sabia mais on a ceci: Tout le temps que les économies s enfoncait dans le marasme, Charest claironnait sur toutes les notes que le Québec avait fait mieux que toute la planete (...) C est la que ca cloche!!...Qu est-ce qu on apprend de ce temps ci c est que la Caisse n investis pas assez au Québec!...Donc! On a perdu, ou gagné moins, on s est pénalisé de n avoir pas assez investis au Québec!!...Charest arrive meme a se débarasser de son billet gagnant...pour des pinottes! C est chronique chez lui.
Envoyé par Linda Hart de Montréal
24 février 2012 à 07 h 55 HNE
@Harold Martel

À votre connaissance ... faites-moi rire !
Envoyé par Jem Rodrigue JEM de Québec
24 février 2012 à 07 h 51 HNE
MIchael Sabia connaît bien les Desmarais, depuis au moins une dizaine d'années. Tous ces gens de la haute finance du Québec se côtoient au palais Desmarais dans Charlevoix (Sagard fut construit au début des années 90).

Il y a cependant des conditions pour y être accepté. Si vous êtes un fervent fédéraliste, si en plus vous avez quelques influences politico-économiques et que votre pire ennemi soit l'indépendance du Québec, eh bien, on vous proposera de venir vous ressourcer en compagnie d'autres fédéralistes endurcis au magnifique domaine Sagard afin d'y passer de magnifiques vacances aux frais du seigneur franco-ontarien.

Ce qui est rassurant dans toutes ces magouilles entre p'tits amis, c'est qu'advenant la défaite du PLQ, et c'est diablement pressant, le PDG de la CDPQ Michael Sabia perdra aussi sa job.
Envoyé par Linda Hart de Montréal
24 février 2012 à 07 h 49 HNE
@Jacques Fournier

Une hypothèse qu'il est parfaitement légitime d'évoquer. Rousseau a été nommé par Bouchard, un proche de Desmarais, après le scandale des 40 milliards, il se retrouve chez Power et nous sommes traités comme les dindons de la farce, des épais qui ne valent même pas qu'on enquête, qu'on trouve les responsables et qu'on identifie ceux qui en ont profité. Je n'arrive d'ailleurs toujours pas à comprendre pourquoi nous avons béatement accepté qu'on dilapide ainsi 40 milliards de notre argent, sans exiger de savoir ce qui s'était passé.

Le PM décide ensuite de nommer Sabia, un vieil ami de Desmarais. On sait que patapouf a été placé là par ce même Desmarais, alors il n'est pas interdit de penser que sa nomination soit le résultat du choix de Desmarais.
Envoyé par Linda Hart de Montréal
24 février 2012 à 07 h 27 HNE
@Serge Caron

Et à l'heure où je vous lis, il y en a deux qui ne veulent pas le savoir. Ils préfèrent se faire détrousser et surtout ne pas savoir à qui le crime profite, probablement parce qu'il a profité à des contributeurs du PLQ et probablement aussi à certains élus.
Envoyé par Mark Gagnon de Chicoutimi
24 février 2012 à 07 h 04 HNE
Desmarais (Power Corp et les entreprises que ça contrôle) Politiques =

Paul Martin l'ancien PM a travaillé dans les années 60 pour eux,

Jean Chrétien a travaillé pour Consolidated Bathurst (Power Corp) dans les années 1980

La fille de JC est mariée au fils de Paul Desmarais

Pierre Trudeau pendant les années 1990 pour Power Corp

Daniel Johnson a travaillé pour Power Corp

Henri-Paul Rousseau la Caisse de dépôt et placement du Québec travaille maintenant pour Power Corp

On en parle jamais puisqu'ils contrôlent une bonne partie des médiats mais c'est la surface uniquement, jettez un coup d'oeil à toute les entreprises que les filliales de Power Corp possèdent/contrôlent...

À lire : http://en.wikipedia.org/wiki/Power_Corporation_of_Canada

http://debbyestratigacos.mu.nu/archives/Power Corp chart.jpg

Envoyé par Jean-Paul Roy de Sherbrooke
24 février 2012 à 06 h 46 HNE
Ben voyons donc! Quand on est convoqué en audience auprès de l'empereur, on y va.
Envoyé par Jean claude Gagnon de montréal
24 février 2012 à 06 h 42 HNE
Mrs.Longfield

diable je croirais être tombé de ma chaise en lisant vos propos...vous qui dites toujours du bien du Québec...
j'aime mieux prendre cela de cette façon...il n'y presque pas une seule fois ou vous avez dit qu'au Québec
qu'il y avait quelque chose de bon...de bien...à votre place je déménagerais...essayer donc une seule fois
d'être positive...sauf pour dire un jour je suis contre une commission d,enquête etc...et le lendemain vous
étiez pour car cela venait de jjcharest...je veux bien que le liberal party ne soit que votre tasse de thé...mais il y a quand même des limites!!!
Envoyé par Serge Caron de st-augustin
24 février 2012 à 05 h 42 HNE
Mike Edoin de trois rivieres
…c`est suite a l`achat des papiers commerciaux…

Je le sais ça, que c'est à cause des papiers commerciaux. Ce que je veux savoir c'est qui a vendu, et tirée profit, de la vente de cette camelote à la Caisse de dépôt. Les 40 milliards $, ils sont allés dans les poches de qui ?
Envoyé par Jean-claude Vincent de laval
24 février 2012 à 06 h 14 HNE en réponse à Serge Caron de st-augustin
Ils achetaient les papiers commerciaux de la filiale de Toronto de la firme américaine Coventry. La CDEP a continué à en acheter alors que toutes les institutions financières avaient mises le hola sur ces investissements. Pourquoi et comment ça s'est fait ,on ne le sait pas .Le gouvernement Charest a refusé de faire la lumière la-dessus...
Envoyé par Jean-claude Vincent de laval
24 février 2012 à 05 h 39 HNE
Qui Sabia croit-il endormir ? On sait que depuis son arrivée à la CDEP celle-ci a considérablement augmenté ses investissements dans les entreprises qui extraient et transportent les sables bitumineux. On sait aussi que Power Corporation et les Desmarais sont des partenaires financiers importants dans plusieurs de ces entreprises.

On sait aussi que Charest est devenu chef du parti Libéral et premier ministre grâce au soutien des Desmarais . Penser que lors de leurs séjours prolongés au Versailles québécois les Charest,Sabia et Desmarais ne parlent que de la pluie et du beau temps et non d'argent c'est un peu comme croire à la fée des dents.
C'est ben "cute" mais un moment donné, il faut voir la réalité en face et comprendre que sous les Libéraux le Québec est vraiment l'état Desmarais qu'évoquait Robin Philpot.
Envoyé par Marriannne Longfield de Québec
24 février 2012 à 05 h 31 HNE
Être riche, posséder des entreprises et faire travailler du monde est une tare.

Tenez-vous le pour dit: si vous pensez devenir riche, vous deviendrez des parias, vos amis ne pourront plus venir vous voir, on vous regardera comme si vous étiez le diable, et on scrutera vos moindres gestes en vous prêtant toutes sortes d'intentions maléfiques.

Au Québec, réussir est une tare. Restez "petits"...
Envoyé par Serge Caron de st-augustin
24 février 2012 à 06 h 10 HNE en réponse à Marianne longfield Marianne de Québec
si vous pensez devenir riche, vous deviendrez des parias...

C'est ce que se disait Al Capone !

Il y a un différence entre les réels bâtisseurs qui s'enrichisent grâce à leur travail et ceux qui s'enrichissent et tirant profit de leur lobbying auprès de l'état.
Envoyé par Jean-Pierre Pineault de Sainte-Flavie
24 février 2012 à 06 h 27 HNE en réponse à Marianne longfield Marianne de Québec
C'est bien de devenir riche mais pas sur le dos des autres.
Envoyé par Richard Blain de St-Hyacinthe
24 février 2012 à 06 h 34 HNE en réponse à Marianne longfield Marianne de Québec
Ce n'est pas être riche qui est une tare, le coupable dans ce cas ci n'est pas m. Desmarais qui lui fait des affaires mais m. Sabia qui se place en conflit d'intérêt flagrant en fréquantant même socialement quelqu'un qui a le pouvoir d'influencer grandement l'économie du Québec et du Canada
Un personnage public doit s'occuper des influents mais n'a pas le droit de fraterniser avec ceux-ci
Envoyé par Marie-Andrée Desmeules de Chicoutimi
24 février 2012 à 05 h 26 HNE
On ne se cache même plus pour éviter les apparences de conflits d'intérêt. Il est puissant M. Desmarais. Allez à genoux, ok, fait le beau, ok
Envoyé par Jean-Pierre Pineault de Sainte-Flavie
24 février 2012 à 05 h 15 HNE
Je trouve étrange que cette même famille, propriétaire du domaine Sagard, ait engagé l'ex directeur monsieur Rousseau après que la Caisse ait déclaré une perte de 40G......Cette famille a beaucoup de contacts et en profite.
Pour monsieur Sabia, il aurait dû y réfléchir à deux fois avant d'accepter cette invitation et trouver un terrain de camping pas trop loin....
Envoyé par Jacques Fournier de Laval
24 février 2012 à 05 h 13 HNE
Peut-être faudrait-il soulever le problème autrement...Serait-il possible que sa nomination à la Caisse soit le résultat de son amitié avec le président de Power Corp.? Une hypothèse, c'est tout.....
Envoyé par Victor Nazaire de ottawa
24 février 2012 à 05 h 06 HNE
Le probleme au Quebec
c est que le Premier Ministre du Quebec admet
qu il est deja alle coucher et passer une fin de semaine
chez une famille de financiers qui dominent la vie economique et mediatique des Quebecois.

Jean Charest, chef du PLQ, a donne le mauvais exemple et il s en vante meme.

Imaginez que le President des Etats-Unis admettrait
qu il ait passe une fin de semaine chez de grands multimilliardaires americains ?

Jean Charest a rabaisse la fonction de Premier Ministre du Quebec
comme Lucien Bouchard qui est alle vendre son experience a des compagnies privees.

J ai enormement
oui enormement le gout
de grands serviteurs de l Etat quebecois
comme Jacques Parizeau,
comme Rene Levesque.
Envoyé par Daniel Francoeur de Montreal
24 février 2012 à 04 h 50 HNE
Comme nous le disent souvent les politiciens pris en «défaut»: Il ne faut donc pas se fier aux apparences! Il suffit de se remettre dans le contexte pour comprendre que M. Sabia a fait un séjour chez Sagard et que ce n'est pas parcequ'il est président de la Caisse de Dépot des Québécois et qu'il rencontre le boss de Jean Charest qu'il faut nécessairement qu'on s'inquiète...

En ce qui me concerne le patinage et les fioritues de la défense de M. Sabia ne me convainquent nullement. Que s'est-il donc passé à Sagard?

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